Comment fonctionne la Biorésonance
(Métatron) ?
La base théorique est que chaque cellule émet une fréquence électromagnétique particulière.
Chaque organe correspond à une fréquence qui lui est propre.
Etant donné qu’un organe endommagé est différent d’un organe sain, un écart de la norme du rayonnement est mesuré, évalué et analysé par le système METATRON.
Les vibrations électromagnétiques sont transcrites par les capteurs situé dans le casque d’écoute et de captage.
Les données sont enregistrées sous forme de diagramme 3 D.

L’appareil contient une base de données, dans laquelle un énorme nombres de vibrations de différents stades évolutifs de toutes les pathologies courante est déposé. Il est donc possible de comparer le cas particulier avec le modèle idéal.
L’appareil est alors capable d’identifier les perturbations présentes dans le corps, ceci également à un stade où cela serait impossible avec les méthodes traditionnelles.
Le METATRON est en mesure d’identifier des bactéries, mycoses, virus….
Tous les organes et système du corps sont projetés à l’écran sous forme de graphique 3 D et évalués à l’aide d’une échelle allant de 1 à 6.
Le METATRON reconnait la déviation énergétique d’un organe par rapport à sa norme idéale, avant qu’il ne soit lésé. Il est ainsi en mesure de distinguer l’ampleur d’une perturbation.
En une séance, il est possible d’observer une forte amélioration. Cependant un minimum de 5 à 6 séances à 3 semaines d’intervalle consolide et améliore fortement tout l’organisme.

Un peu
d'histoire
Cette technologie même si elle paraît novatrice, et bien ne l’est pas tellement puisqu’ elle a 60 ans d’existence, elle a été développée par les russes dans les années 60/70 pendant la conquête de l’espace. L’appareil utilisé actuellement n’est pas de la même génération, c’est la dernière génération de cette technologie. La génération NLS en biorésonance, Non Linéar System par biorésonance, est une technologie qui est médical en Russie, mais qui n’est pas reconnu comme tel en Occident, nous sommes donc dans le secteur du bien-être. Aujourd’hui, l’appareil que j’utilise n’est pas un appareil médical mais c’est une technologie qui l’est en Russie.
Pendant la conquête de l’espace dans les années 60/70, les russes se sont retrouvés avec la problématique : comment suivre la santé de nos astronautes à cette distance ? Ils ont donc cherché une nouvelle méthode d’investigation de suivi de la santé des astronautes et c’est un groupe de physicien du projet spatiale russe, et non pas des biologistes, qui vont investiguer la biologie, mais c’est grâce aux lois de la physique et notamment de la physique quantique (décrit le comportement de la matière physiques au niveau nanoscopique) que nous allons pouvoir l’investiguer.
Ce groupe de physiciens russes eu l’idée de s’appuyer sur ce que notamment Einstein et Planck avaient découvert dans les années 30, qu’au niveau moléculaire, la matière qu’elle soit vivante
(comme votre poumon) ou inerte (comme votre pull) est aussi bien une particule qu’une onde, Elle a cette dualité d’existence. Ils ont créé des banques de données de ces signatures fréquentielles de référence afin de pouvoir les comparer aux mesures de chacun.

